Dans un contexte de constante évolution, le monde doit faire face à des changements, des défis, certains plus alarmants que d’autres. Pour les relever, les pays doivent adopter des politiques de développement qui peuvent varier d’un gouvernement à un autre. Quels sont donc les 5 plus grands défis auxquels les pays sont confrontés ?
Plan de l'article
La protection de l’environnement : l’un des 5 grands défis du monde
Parmi les 5 plus grands défis du monde figure la protection de l’environnement. Ces dernières années, ce sujet a été au centre de tous les débats environnementaux. Et pour cause, le changement climatique qui est accéléré par les comportements humains fait fureur.
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Malheureusement, la conséquence d’un changement climatique est mondiale. Pour préserver l’environnement, les pays doivent penser des politiques de développement. Dans certains états, les énergies renouvelables sont une parfaite alternative aux ressources fossiles, une bonne façon de ralentir le changement climatique. D’autres pays encouragent la population à adopter un mode de vie plus écologique et à gérer plus efficacement les déchets. Progressivement, c’est devenu une politique mondiale et elle porte ses fruits sur le long terme.
De nombreuses études, notamment celles de l’OCDE encouragent les pays à adopter des politiques de résiliation au changement climatique. Ne pas faire la moindre action prendrait jusqu’à 20 % du PIB mondial pour faire face aux conséquences du changement climatique. Mener une action de lutte ne prendra cependant que 1 % de ce même PIB.
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La lutte contre la pauvreté
Depuis 1980, le nombre de personnes vivant dans la pauvreté extrême a été divisé par deux. Pour autant, ce n’est pas suffisant pour éradiquer le fléau. Si la mondialisation a permis de créer de la richesse, elle a également participé au renforcement des inégalités. Il est donc urgent de poser une action dans ce sens.
Dans de nombreux pays à travers le monde, la pauvreté est à la base de l’instabilité politique et crée des conflits armés puis des actes de terrorisme surtout en Afrique. Les personnes pauvres ne profitent pas non plus d’une couverture optimale en santé et sont plus vulnérables aux pandémies. La faible couverture en santé est l’un des plus grands facteurs de décès dans les pays pauvres. Dès lors, une politique mondiale est mise en place pour assister de nombreux pays avec des subventions.
Une action salvatrice ancrée dans une politique mondiale bien rodée pourrait par exemple réduire les inégalités sociales. En effet, 2 % des personnes les plus riches possèdent la moitié de la richesse mondiale selon les données de l’OCDE.
La gestion des migrations internationales
Rares sont aujourd’hui les pays qui ne sont pas touchés par la migration qui reste pour la plupart du temps clandestine. Les pays de l’ODCE sont majoritairement touchés. Selon les données de l’OCDE, les États d’accueil seront confrontés à un problème de natalité et au vieillissement de leur population.
Cependant, la migration est un moyen pouvant compenser le déséquilibre engendré par la mondialisation. Lorsqu’elle est bien encadrée, elle peut être une solution aux problèmes économiques des pays développés et même ceux en développement. Dès lors, les pays adoptent pour une politique de régulation de la migration afin d’en tirer également parti.
La combinaison de la santé et de la technologie
Si la pauvreté agit sur le niveau de couverture en santé des populations, la question de l’intégration de la technologie au domaine de la santé est ouverte. Les avancées en technologies laissent aujourd’hui plusieurs pistes. Dans le domaine de la santé, on note déjà des robots dans les salles d’opération.
Combinés à l’intelligence artificielle, ces robots peuvent révolutionner ce secteur. Très présent en Europe, il faudra une politique de développement qui permettra d’intégrer davantage l’IA dans le domaine de la santé. Dès lors, il sera plus facile de sauver des vies avec la réalisation d’opérations très délicates.
C’est l’un des défis auxquels les pays doivent faire face aujourd’hui même s’ils ont des pistes probables.
La libéralisation des échanges mondiaux
À l’ère de la mondialisation, les pays sont devenus interdépendants. S’il y a déjà une politique mondiale déjà en place, il faut surtout poursuivre la libéralisation des échanges mondiaux. L’objectif est de rééquilibrer les règles du commerce international afin que les États pauvres souffrent le moins.
Selon les données de l’OCDE, on peut prétendre à un gain de 100 milliards de dollars si une bonne politique est adoptée dans le cadre des échanges internationaux. Actuellement, les restrictions sur le marché international ne semblent pas faciliter les choses.
La Chine en conflit avec les États-Unis se voit interdite d’accès à plusieurs autres grandes nations comme la France et plusieurs autres pays de l’Union européenne en plus du Japon. La guerre entre l’Ukraine et la Russie entraîne également des restrictions qui ne semblent pas participer à la croissance économique mondiale.